Au moins dix civils ont été tués dans la nuit du lundi 7 au mardi 8 mars 2022, dans la commune de Gueskérou, Sud-Est du Niger, dans une série d’attaques perpétrée par le groupe jihadiste

Au moins dix civils ont été tués dans la nuit du lundi 7 au mardi 8 mars 2022, dans la commune de Gueskérou, Sud-Est du Niger, dans une série d’attaques perpétrée par le groupe jihadiste
Access to the Democratic Republic of Congo’s natural resources has been largely controlled by a privileged elite, fueling mistrust and violence between competing groups. For people around the world, the past few years have painfully
La Conférence des Chefs d’Etats de la CEDEAO et de l’UEMOA a décrété un embargo contre la République du Mali, à l’issue de son sommet extraordinaire conjoint qui s’est tenu le 9 janvier 2022 à
Le président de la transition du Mali et le Président mauritanien ont eu un entretien téléphonique ce mercredi 9 mars 2022. Cet échange fait suite aux accusations des autorités mauritaniennes sur des disparitions présumées de
En Ituri et au Kivu, l’annonce du retrait des forces ukrainiennes présentes en RDC au sein de la Monusco laisse la population de marbre. En Ituri une province en proie à la violence, la société
La sécurité renforcée à Kanya, dans le nord-ouest de l’Etat de Kebbi au Nigeria . Des points de contrôle sont érigés sur les principales artères de la localité. Alors que de patrouillent sont de plus
Des dizaines de partis parmi les plus représentatifs de Guinée ont menacé mercredi d’appeler à manifester si la junte au pouvoir persiste à les tenir à l’écart et à retarder le retour des civils à
Selon les informations de Jeune Afrique, le ministre malien de la Défense et le chef d’état-major de l’armée de l’air se sont envolés pour la Russie en pleine guerre avec l’Ukraine. Le colonel Sadio Camara
L’armée a tué au moins 13 manifestants “pacifiques”, dont un enfant, et des personnes assistant à leurs obsèques fin janvier dans l’est du Tchad à la suite d’un différend entre deux communautés, a accusé mercredi
Un chef du parti tunisien Ennahdha, hospitalisé en état de détention depuis plus de deux mois, a été remis en liberté mardi mais fait toujours l’objet d’une enquête pour des soupçons de “terrorisme”, a indiqué